Transcriptions écrites
Le 15 avril 2008 - Nevers
Mes enfants, Je vous demande instamment de venir auprès de mon Fils, tout près de son Cœur afin de ressentir les battements d’Amour qu’il vous adresse. Mes enfants, ces palpitations sont l’énergie dont vous avez besoin pour entreprendre votre chemin et le développement de ma Maison. Soyez à l’écoute de mon Fils. Vous sentant fébriles en ces temps il se penche sur vous et vous insuffle sa passion pour vitaliser votre ardeur à la résolution de la demeure d’Ardouane. Ne soyez point sur le qui-vive des on dits et des sous-entendus, car il n’est rien en ces temps qu’une seule réalisation en cette demeure et au travers de mon amour de Mère est consentie au bien des hommes. Voyez, mes enfants, nous ne vous abandonnons pas et par notre soutien vous devez accentuer vos démarches. Je vous ai tout transmis, seuls quelques détails vous seront transmis en temps utile. Vous allez faire revivre ces pierres pour que bien des gens ressentent l’attention particulière que Dieu le Père leur porte et la présence céleste. Vous êtes mes petits enfants chéris et bientôt vous me rendrez un sourire éclatant par votre abnégation en votre mission. Notre tristesse n’est liée qu’au peu d’investissement des hommes envers eux-mêmes. La grande Miséricorde Divine est peu connue et reconnue des hommes, c’est une entrave conçue par l’homme pour se tourner vers le matérialisme, mais n’ayez crainte, le Seigneur y pourvoira au travers la Nouvelle Jérusalem. Mes enfants, vous avez tout en vous, et par nous, formez l’osmose et vous réalisez le projet de Dieu le Père dans sa magnificence. Soyez le falot qui éclaire le chemin de la vie et vous êtes si nombreux sur terre, le temps viendra dans la réunion de tous, soyez confiants, ayez foi. Priez, priez, priez, mes enfants, afin que les hommes soient soulagés des maux terrestres, afin d’ouvrir leur cœur au Suzerain Céleste. Le Père Eternel vous bénit, au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit . Vous en êtes dignes, montrez le à vos frères en toute humilité et discrétion. Je suis Marie, Mère des hommes, transmettrice et servante de Dieu le Père, pour que règne l’unité entre les hommes pour l’éternité. Merci de me lire. Marie Mère des hommes